C'est un paradoxe : la meilleure étude sur les inondations namuroises aux Temps Modernes est due à un jeune historien flamand, Alexander Soetaert. On la connaissait depuis quelques temps, restait à l’actualiser et à la traduire, voilà qui est fait, grâce aux Amis de la Citadelle et à la Société royale Sambre et Meuse.